Nous passons par des formes innombrables. La vie tâtonne, durcissant ses allonges.
Du berceau au linceul, les jours rendent aux ténèbres nos innocences, nos rancoeurs.
Il faut un peu d'effroi pour supporter tout ça.
Texte et photo : Egon Kragel
JOURNAL PHOTO-POÉTIK
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