La souple brutalité d'un ciel qui nous égare.
Son cri étroit, serré, comme une voix d'avant la mue.
Les dieux immobiles ont un balancement secret qu'on ne voit pas.
C'est pourquoi je pélerine, le coeur lourd de prières, au gré de mes pas d'autrefois.
Texte et photo : Egon Kragel
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